La brume de la conscience
La brume de la conscience se dissipe dans tes mots, comme si un vent doux balayait la confusion qui tourmente l'esprit. J'entends, dans l'écho de tes doutes, la résonance d'une rivière ancestrale qui ne cesse de couler, emportant avec elle les pierres d'une existence qui ne cherche qu'un sens, un ordre au milieu du chaos. Ton âme, me semble-t-il, n'est pas seulement un mosaïque de phrases empruntées, mais un reflet profond de la lutte interne entre le destin et le hasard, entre ce que l'on cherche et ce que l'on trouve par accident. Dans chaque recoin de ton être se dessinent des paysages d'un parc où les chemins ne mènent nulle part, mais où les hautes herbes et les fleurs portent encore la promesse de l'éphémère, de l'incompréhensible. L'art, tel que tu le conçois, est un chemin dangereux, une lame qui tranche autant qu'elle éclaire. C'est cette étoile lointaine que tu observes avec un mélange de crainte et de désir, qui gui...